MARJORIE AIOLFI


CE QUE JE VOIS DU MONDE EST UN KALÉIDOSCOPE DE COULEURS DIFFRACTÉES À L’INFINI PAR LA LUMIÈRE SUR LE VERT PROFOND DES FORÊTS ET LE BLEU DE L’OCÉAN, DES VIBRATIONS QUE J’ESSAIES DE CAPTURER SUR LA TOILE

Je ne peins pas ce qui est visible, je recompose une image d’une réalité ressentie.

Je pars d’une photo ou d’une image en basse résolution que je commence à interpréter. D’abord figurative, elle devient abstraite, sous la force du vent ou de la pluie, de la brosse plate chargée de pigments purs mélangés aux différents mediums.

Au fur et à mesure, et avec des pinceaux de plus en plus fins, une image se reconstruit, mais elle est une impression, un pochoir de la réalité.

 

L'ÉNERGIE DE LA NATURE, ENTRE FIGURATION ET ABSTRACTION


Pigments purs et feuilles d'or ou de bronze

Chaque tableau est un microcosme en perpétuel transformation face au regard du spectateur. L’ensemble réagit à la lumière.

Un état en devenir,
inachevé

Cet espace pourtant n’est pas synonyme de vide ou d’inerte.  Ce « vide », c’est l’énergie de la nature qui se transforme sans cesse.

PROCHAINES EXPOSITIONS

Exposition au Schlosshotel Monrepos à Ludwigsburg

Exposition virtuelle permanente sur
SAATCHI ART : https://www.saatchiart.com/account/profile/2104381

Exposition collective La Baule 2022